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Dans cet article:
Qui a décidé que dès que tu soufflais tes 40 chandelles, t’étais condamné à des croisières thématiques et à des resorts hors de prix ? Les auberges de jeunesse, comme les voyages, ce n’est pas une activité réservée aux vingtenaires en sac à dos. C’est pour les personnes curieuses, qui cherchent autre chose que le service de chambre et la télé câblée. Et ça, peu importe l’âge.
Soyons francs : les coûts d’hébergement peuvent vite engloutir une bonne partie d’un budget voyage. Les auberges, elles, permettent de réduire la facture. Et contrairement à l’image un peu poussiéreuse qu’on a parfois d’un hébergement petit budget, il existe aujourd’hui des auberges propres, modernes et franchement accueillantes.
En choisissant une auberge, tu peux garder ton argent pour ce que t’aimes vraiment : visiter, goûter, explorer, apprendre.
Tu te demandes jusqu’à quel âge tu peux aller en auberge de jeunesse ? Je pense que tant que tu as envie de découvrir et d’échanger, t’es à la bonne place.
Dans la salle commune, dans une cuisine partagée, dans un salon rempli de jeux de société, les conversations s’amorcent naturellement (à condition de lâcher ton cell !). On jase de nos trajets, de nos coups de cœur, de nos prochaines étapes. On échange des conseils, des anecdotes, des fous sourires. Tu ne vas quand même pas me dire qu’un·e adulte en auberge de jeunesse est trop vieux ou vieille pour ça ?
Les auberges accueillent aujourd’hui une grande diversité de personnes qui voyagent : retraité·es actif·ves, aux jeunes fêtard·es en passant par des parents en congé sabbatique. Oui, peut-être qu’un jour ce sera toi le plus vieux ou la plus vieille dans la common room, mais sais-tu quoi ? C’est pas grave parce que c’est cette belle diversité qui rend l’expérience si riche.
Si avec l’expérience tu accordes plus d’importance à la manière dont tu voyages, ça tombe bien : les auberges de jeunesse mettent souvent de l’avant un tourisme plus responsable et sont souvent animées par des valeurs fortes.
En y séjournant, tu soutiens des initiatives locales, tu rencontres des gens engagés et tu contribues à un tourisme plus respectueux. Et ça, peu importe ton âge, ça fait du bien.
Plusieurs auberges Saintlo s’investissent concrètement dans des projets écoresponsables comme la réduction du gaspillage, le compostage et le choix de produits locaux. Elles favorisent un modèle de tourisme à impact positif, à échelle humaine.
Petit bonus : pour chaque nuitée passée dans une auberge Saintlo, 1 $ est remis à la Fondation Saintlo Tourisme Jeunesse, qui aide des jeunes de milieux défavorisés à s’épanouir grâce aux bienfaits du voyage.
Aujourd’hui, on est loin de l’image du dortoir surpeuplé, des matelas mous et des douches remplies de cheveux. Plusieurs auberges sont aussi jolies et bien pensées qu’un hôtel, mais avec une ambiance décontractée en prime.
Certaines proposent des chambres privées avec salle de bain, des espaces communs chaleureux, des jardins, des cafés, des ateliers, des événements culturels. Outre les bons vieux pub crawls, on y trouve parfois des cours de yoga, des soirées de jeuxkaraoké, des projections de filmsvisites guidées, des soupers collectifs, des espaces de coworking. Bref, ça peut devenir un vrai lieu de vie même pour un voyageur ou une voyageuse aguerri·e.
C’est souvent ce qui me fait peur en allant en auberge de jeunesse après 40 ans : le fameux dortoir avec les ronflements, les valises qui roulent à 4 h du matin et l’intimité réduite. Mais rassure-toi : la plupart des auberges proposent aujourd’hui des options variées. Perso, ce que j’aime c’est de réserver une chambre privée pour avoir mon espace et quand même profiter de l’ambiance conviviale dans les aires communes.
Et chez Saintlo, l’offre est bien plus diversifiée qu’on pense. À Ottawa, tu peux dormir dans une ancienne cellule de prison. À Montréal, il y a des chambres pensées pour les familles. Il y a aussi des hébergements insolites, du camping et même des emplacements pour VR.
C’est le compromis parfait : le confort, mais sans l’isolement. Dans le fond, tu choisis l’expérience qui te ressemble !
En auberge, je trouve qu’on retrouve parfois quelque chose qu’on a tendance à oublier un peu en vieillissant : une certaine ouverture à ce qui n’est pas planifié. Une discussion inattendue, une invitation à partager une bouffe ou un thé, une recommandation qui change ton itinéraire, une belle rencontre… Avoir de la souplesse et laisser de la place aux surprises, c’est un peu ça voyager, non ?
Voyager en auberge de jeunesse après 40 ans, c’est rester ouvert·e, curieux·se, vivant·e. C’est choisir une manière de voyager qui privilégie les liens, l’échange et la simplicité. Il n’y a pas d’âge pour ça.